Le verbascum ou molène (ou encore bouillion-blanc) est très présent dans les champs et les friches en été dans le Gard. Ses fleurs d’un jaune tendre illuminent le paysage. Nul besoin de le cultiver : il pousse seul, se sème où il veut et résiste farouchement à la débroussailleuse en repoussant rapidement après le passage…
Author: la rédac
Lantana montevidensis
La variété de lantanier la plus courante est le lantana camara aux ombelles de fleurs jaune/rose/orange. N’étant pas amateur de ces couleurs vives, je ne l’ai pas choisi pour mon jardin de l’arrière-pays Nîmois. En remplacement, il y a le magnifique lantana montevidensis aux fleurs de couleur lavande. Cet arbuste serait rampant selon certains sites…
Le savonnier
Depuis quelques années, à Nîmes et dans d’autres lieux du Gard on voit de plus en plus les fleurs jaunes d’été de cet arbre, très décoratif pour sa floraison abondante. En plus cela permet aux paysagistes de ne pas toujours planter l’omniprésent laurier-rose. Un bonus non négligeable : la cosse du fruit de couleur rouge-orangé…
Le muguet des pampas
Alors que la plupart des essences présentées sur ce site sont voulues et plantées, cette essence est des plus indésirables. Il s’agit d’un solanum (salpichroa origanifolium) qui se répand par racines courant entre 3 et 25 cm sous terre et par graines semées par les oiseaux ou des mammifères qui consomment les fruits. Impossible de…
le chitalpa de Tashkent
Annoncé parfois comme arbuste, cette essence peut surprendre par sa taille car il peut attendre 9 m de haut. Dans mon jardin il ne fait “que” 4 mètres de large par 4 mètres de haut ! Sa pousse reste arbustif et même chaotique avec de grandes branches étalées par terre. J’en ai parfois coupé car…
La plume du Kansas
Le liatris spicata, une bulbeuse qui fleurit de juin à septembre, est utile dans les jardins de l’Uzège où peu de vivaces peuvent supporter la chaleur de l’été et fleurir longtemps. Mais celle-ci revient d’année en année et, avec les bonnes conditions, prend de l’ampleur. Autre curiosité, l’épi floral se développe de haut en bas.
Pandoréa jasminoides
Deux bignones, l’une aux fleurs blanches à cœur rose, et l’autre à fleurs rose soutenue sont facile à confondre. Pas à cause des fleurs, mais à cause du nom. Le nom de l’un est un anagramme du nom de l’autre : pandoréa vs podranea. Ni l’un ni l’autre n’est vraiment rustique en Uzège. Certains hivers…
Le plaqueminier
Arbre fruitier emblématique des jardins de l’Uzège, le plaqueminier (diospyros kaki) n’est cependant pas natif d’ici. Son origine – la Chine et le Japon. Très répandu dans ces 2 pays, il se voit souvent dans les jardins au bord des canaux de l’île de Kyushu au Japon. Quel lien avec le Japon ? Le fruit…
Lilac Wonder
Depuis longtemps cette tulipe (tulipa saxatilis var Lilac Wonder), dont la floraison est hâtive – soit en février ou mars – fait parti de mes favorites. C’est une espèce botanique qui revient chaque année dans de bonnes conditions. (un peu d’eau avant de fleurir puis au sec après, pas de rongeurs etc). Dans l’Uzège il…
Parrotia en fleurs
Après 10 jours de mistral debut février, le parrotia persica fleurit peu mais fait bien son effort quand même. C’est son second hiver en plein vent – j’attends de voir son comportement après une sécheresse épique en 2022 et l’hiver 22-23, jusque là, plutôt froid.
Néflier du Japon
On reconnaît couramment 2 néfliers dans les parcs et jardins d’Europe. Le néflier d’Allemagne (mespilus germanica) produit un fruit comestible mais laissé de côté par la société de consommation (non commercial et peu transportable, le fruit doit se manger blet). L’autre ‘neflier’, illustré ici en fleurs, est un arbre du Japon (c’est un eriobotrya japonica)….
Les tibouchina
Le tibouchina grandiflora, illustré ici et mal nommé, n’a pas de très grandes fleurs. La variété urvilleana est plus spectaculaire. Ni l’un ni l’autre n’est rustique : à ne pas adopter si on ne peut pas lui proposer une place en serre froide ou dans une piece lumineuse et pas trop chauffée en hiver. Par…